La crise sécuritaire, exacerbée par la montée des gangs armés défiant ouvertement les autorités, plonge de nombreuses entreprises privées dans l’incertitude. Des entreprises telles que DELIMART sont contraintes de mettre des employés en disponibilité, tandis que d’autres, comme NuTV, ferment définitivement leurs portes. Pendant ce temps, au sein du Conseil Présidentiel, des querelles pour le poste honorifique de président du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) et de celui
de Premier ministre font rage, ignorant apparemment l’urgence de la situation.
Cette crise met en péril des milliers de familles qui luttent pour leur sécurité et leur subsistance, soulignant ainsi la nécessité d’une action gouvernementale urgente pour rétablir l’ordre et protéger les citoyens.